Commercialisation
des Parcs Nationaux : Parc National de Virunga comme exemple.
Par MARTINE MBINGILA MUKOKO.
Les organismes de conservation dans le monde souffrent plus des problèmes
financiers chroniques qui les empêchent à bien mener leur mandat de
conservation adéquate (James, 199). Jusqu'à ce que le nœud coulant de
financement a commencé à serrer, les organismes de conservation dans le monde
entier ne voyaient pas la nécessité de faire des affaires et des pratiques commerciales
comme but lucratif de la commercialisation (Eagles, 1997).
Il n'y avait aucune spéculation de faire en sorte que les activités génératrices de revenus à gagner généré un revenu excédentaire, en fonction des coûts réels des bâtiments, des entretiens et des coûts d'exploitation. Les résultats ont été d'une très grande dépendance sur les subventions de l'Etat, sans beaucoup d'attention étant accordée à la création d'autres alternatives de génération de revenus (Eagles and Wind, 1994). On croit que de nombreux organismes de protection du monde sont à court d'argent.
Il n'y avait aucune spéculation de faire en sorte que les activités génératrices de revenus à gagner généré un revenu excédentaire, en fonction des coûts réels des bâtiments, des entretiens et des coûts d'exploitation. Les résultats ont été d'une très grande dépendance sur les subventions de l'Etat, sans beaucoup d'attention étant accordée à la création d'autres alternatives de génération de revenus (Eagles and Wind, 1994). On croit que de nombreux organismes de protection du monde sont à court d'argent.
Les résultats de ces sous-financement se manifeste dans les infrastructures,
les mauvais état des bâtiments, certaines establishments fermées pendant les
périodes de guerres civiles en raison des risques de sécurité et les
administrations d'information touristique insuffisante (Eagles, 1995).Tandis
que, les zones protégée peuvent utiliser la commercialisation en tant que
source de génération de revenus alternatifs pour atteindre la viabilité
financière d’un pays entier.
I.
Vue d'ensemble du Parc national des Virunga
Virunga a été classé comme une zone protégée par l'UNESCO, Connu également
comme la maison des dizaines d'espèces uniques, y compris les gorilles de
montagne et okapis. Actuellement, plus de 3000 touristes par an se rendent dans
le secteur sud du Parc national des Virunga pour admirer les gorilles, ainsi
que le lac de lave du majestueux volcan Nyiragongo.
A. 1 Virunga et les Montagnes de Ruwenzori.
A.II Bref histoire du Parc national des Virunga.
A. 1 Virunga et les Montagnes de Ruwenzori.
A.II Bref histoire du Parc national des Virunga.
Quand les Belges, colonisateurs de la République Democratique du Congo, accorda
l'indépendance du Congo en 1960, le nouvel état se détériora rapidement, et
ainsi faisant place au différent parc. Ce fut seulement en 1969, lorsque le
président Mobutu commença à prendre un intérêt personnel dans la protection,
que le parc a été relancé. Virunga obtenu de bons résultats pour la meilleure
partie des années 1970. Avec l’aide des investissements étranger qui contribua
à l’amélioration des infrastructures et de l’arrangement des establishments du
parc, qui devenu une destination populaire pour les touristes, recevant en
moyenne 6500 visiteurs chaque an. En 1979, l'UNESCO désigna le parc comme étant
le site du patrimoine mondial. En milieu des années 1980 le régime de Mobutu commença
à perdre son emprise du pouvoir et le pays commença une longue glissade dans la
confusion et le chaos faisant payer au parc son prix. Les facteurs comme le ‘’Braconnage’’
qui a appauvri la population de grands mammifères de Virunga pour le besoin
financier de la communauté locale, les infrastructures détruites, et de
nombreux gardes ont été tués. L'Autorité de la faune congolaise perdu lentement
le contrôle de Virunga et l'UNESCO qui a
son tour changea le statut de site du patrimoine mondial "en voie de disparition’’.
A.III. Profil Géographique du Parc Nationale de Virunga
Virunga National Parc fut créé en 1925 comme premier parc national du
continent Africain. Ce parc national s’étend des montagnes de Virunga dans le
Sud, des montagnes de Ruwenzori dans le Nord, situé dans la République
démocratique du Congo en particulier dans la ville de Goma, en bordure du parc
national des volcans au Rwanda et le parc national Queen Elisabeth en Ouganda.
II.
Opportunités
et potentiels du Parc national des Virunga
ü Éducation Environnementale.
ü Production de recettes.
ü Donation.
ü Zone protégée
Justification.
ü Emploi.
ü Entretien de la
biodiversité.
ü Appréciations
visiteurs.
ü Échange culturel.
1.
Éducation Environnementale: Les touristes
nationaux comme internationaux qui viennent visiter le parc national des
Virunga, d’une part s’informent sur la façon dont la communauté locale vivent sur leur culture des et sur leur histoire.
Les touristes veulent apprendre d’avantage sur les rares espèces qui y vivent
et sur l’environnement qui les entourent. Certains touristes qui sont curieux
s’intéressent sur les diffèrent facteurs tell que économiques, politiques et
sociaux et leur rôle sur la conservation du Parc Virunga.
2 Production de recettes: la principale recette est basée les droits d'entrée. Les touristes doivent payer une somme d'argent pour accéder et visiter le parc. Concessions du secteur privé: Ils s’y trouvent quelques loges, mais pas des restaurants; ce qui revient aux touristes d’apporter leur propre nourriture lors de la visite. Et ce qui concerne le transport, le Parc Virunga fournit la location de voiture, location de canoë, ou en hélicoptère selon votre choix, concernant l’utilisation de son propre véhicule, les touristes sont priez d’informer le personnel du Parc. Due aux conflits politiques du pays qui engendra la destruction du Parc, le Parc n’est pas en mesure de s’approvisionner des magasin, des restaurants et des guichets et électroniques, Pour ce cas il serait conseiller aux touristes d’apporter du cash.
2 Production de recettes: la principale recette est basée les droits d'entrée. Les touristes doivent payer une somme d'argent pour accéder et visiter le parc. Concessions du secteur privé: Ils s’y trouvent quelques loges, mais pas des restaurants; ce qui revient aux touristes d’apporter leur propre nourriture lors de la visite. Et ce qui concerne le transport, le Parc Virunga fournit la location de voiture, location de canoë, ou en hélicoptère selon votre choix, concernant l’utilisation de son propre véhicule, les touristes sont priez d’informer le personnel du Parc. Due aux conflits politiques du pays qui engendra la destruction du Parc, le Parc n’est pas en mesure de s’approvisionner des magasin, des restaurants et des guichets et électroniques, Pour ce cas il serait conseiller aux touristes d’apporter du cash.
3.
Dons:
UNESCO et de l'UICN soutiennent le parc.
4.
Zone protégée justification: Dans Virunga, il n'y aura donc aucune justification,
parce que les communautés locale ne prennent pas en charge le parc. Les
communautés locales pratiquent les activités telles que l’Agricultures juste
pour leur survie. Le gouvernement en place n’a aucun système pour soutenir
économiquement la pauvre communauté locale y résidant dans le parc.
5.
Emploi: la création d'emploi qui concerne d’abord la communauté
locale; Le tourisme dans ce milieu qui
donne une nécessite économique dans la création d’opportunité d’emplois dans différents
domaine du secteur. Par l’embauche de nouveaux guides, des gardes et des
gestionnaires pour répondre à la demande accrue de l'écotourisme.
6.
Entretien de la
biodiversité: Il n'y a aucune
preuve d'entretien dans le parc.
7.
Appréciation des visiteurs: les visiteurs bénéficie du fait d’avoir l’opportunité de voir les
gorilles de montagne et monter la montagne Ruwenzori.
8.
Échange culturel: Les touristes ont cette opportunité de vivre par
eux-mêmes comment la communauté locale vit, de savoir quelles sont les aliments
de base avec lesquelles ils se nourrissent, le genre de musique qu'ils écoutent,
leur croyance, leurs valeurs, leurs différentes langues.
III.
Risques
et contraintes dans le parc national des Virunga
ü Dégradation de l'environnement.
ü Instabilité
économique.
ü Développement
excessif.
ü Braconnage.
ü Disparition des espèces terrestres exotiques qui
affectent la biodiversité.
1.
Dégradation de l'environnement: la destruction des ressources naturelles sont visible:
les végétations piétinées, sentier les érosions et de la pollution de la source
affectant l’écosystème du Parc.
2.
Instabilité économique: De nombreux facteurs externes réduit la bonne
coordination et l’opération du tourisme tels que les conflits politiques, c'est
le problème majeur en RDC, ces conflits engendrent l’insécurité dans la région
et rend la zone inaccessible au secteur du tourisme.
3.
Le développement excessif: il n'y a pas de développement excessif dans le parc de
Virunga.
4.
Braconnage :
Tuant les espèces telles que les éléphants pour vendre leur ivoire.
5.
Disparition des espèces exotiques terrestres touchant la
biodiversité: Dans parc national
des Virunga, nous pouvons trouver des animaux rares et qu’on ne trouve que dans
cette région, comme L'okapi qui est l'une des espèces étonnantes trouvées dans DR Congo
qui sont souvent utiliser dans le commerce des viandes sauvages.
IV.
La commercialisation en tant que stratégie de
conservation
La commercialisation de système évoque des émotions différentes chez
différentes personnes en raison de la vaste série d'options de gestion qu'il
peut entraîner. Il peut signifier le développement d'une éthique de service de
base pour achever la privatisation des parcs impliquant la vente de la terre et
des infrastructures. La commercialisation implique une intention de générer des
revenus supplémentaires comme un moyen d'assurer une meilleure conservation des
parcs nationaux.
Les entreprises privées se sont attribuées des concessions dans les parcs nationaux, soit l'occasion de construire et d'exploiter une installation ou prendre le tourisme sur une ligne existante de l'entreprise comme des camps privés, des magasins, restaurants, stations-service, blanchisserie, nettoyage, services de jardins et de nouveaux pavillons de concession sur des sites vierges.
Le partenariat public-privé doit à son tour présenter le mélange correct des forces financières, l'expérience des affaires nécessaires et le pouvoir de réhabilitation solides des établissements. On estime qu'à l'échéance, les recettes fiscales seront de 6 millions de dollars par année.
La commercialisation du Parc national des Virunga est une stratégie de conservation qui permettra non seulement au personnel de se concentrer sur le cœur de leur métier, qui est, la conservation de la biodiversité en éliminant l'inefficacité et le gaspillage, et aussi d'améliorer le niveau de service et l'externalisation (qui est une action pour une entreprise de confier une partie de ses activités à des partenaires extérieurs) des entreprises périphériques au secteur privé tout en permettant aux communautés locales de s’y retrouver.
Comme partout, Il y a beaucoup de défenseurs de l'environnement qui ne partagent pas le point de vue que les parcs nationaux et autres réserves naturelles devraient être financièrement réhabilité.
Les entreprises privées se sont attribuées des concessions dans les parcs nationaux, soit l'occasion de construire et d'exploiter une installation ou prendre le tourisme sur une ligne existante de l'entreprise comme des camps privés, des magasins, restaurants, stations-service, blanchisserie, nettoyage, services de jardins et de nouveaux pavillons de concession sur des sites vierges.
Le partenariat public-privé doit à son tour présenter le mélange correct des forces financières, l'expérience des affaires nécessaires et le pouvoir de réhabilitation solides des établissements. On estime qu'à l'échéance, les recettes fiscales seront de 6 millions de dollars par année.
La commercialisation du Parc national des Virunga est une stratégie de conservation qui permettra non seulement au personnel de se concentrer sur le cœur de leur métier, qui est, la conservation de la biodiversité en éliminant l'inefficacité et le gaspillage, et aussi d'améliorer le niveau de service et l'externalisation (qui est une action pour une entreprise de confier une partie de ses activités à des partenaires extérieurs) des entreprises périphériques au secteur privé tout en permettant aux communautés locales de s’y retrouver.
Comme partout, Il y a beaucoup de défenseurs de l'environnement qui ne partagent pas le point de vue que les parcs nationaux et autres réserves naturelles devraient être financièrement réhabilité.
Sur la scène internationale, la troisième organisation World Network a
récemment exprimé son opposition à la privatisation dans le monde entier et la
construction de bâtiments non écologiques, violant ainsi le principe de toucher
légèrement la terre dans une quête pour attirer plus des touristes
internationaux. Selon Pleumarom (2003), un ancien terme se réfère à la notion
de calcul de la valeur équivalent financier pour certaines ressources
naturelles qui attirent les touristes qui paient pour un gain financier par des
investisseurs privés au détriment de l'écologie, alors que ce dernier se réfère
au développement excessif du divertissement des structures ressemblant à Disneyland
en Floride (Etats-Unis) dans les parcs nationaux et les sites du patrimoine
mondial à travers le monde en quête de faire de l'argent pour survivre.
La commercialisation fait face à une opposition considérable du public et un tel scénario aggrave les difficultés rencontrées par les parcs en vue d'atteindre la viabilité financière. Il semblerait, selon ces critiques, que la commercialisation se concentre trop sur but lucratif plutôt que sur la conservation de la biodiversité (Macleod, 2003).
Il y a une crainte au sujet de la hausse des prix et aussi sur la perte de la '' culture Virunga '' si l'externalisation devait se produire. Beaucoup de touristes se trouveront mécontents en ce qui concerne la commercialisation des restaurants et des magasins, la hausse des prix, la mauvaise qualité des produits et le service, et prévoient la même tendance touchant l'hébergement si l'externalisation devait être introduite.
Des préoccupations ont été soulevées au sujet de l'impact que l'externalisation pourrait avoir sur les communautés locales et les personnels du Parc Virunga.
Ainsi, il apparaît que les revenus du tourisme dans le parc serait impacté négativement si l'externalisation est introduite.
La commercialisation fait face à une opposition considérable du public et un tel scénario aggrave les difficultés rencontrées par les parcs en vue d'atteindre la viabilité financière. Il semblerait, selon ces critiques, que la commercialisation se concentre trop sur but lucratif plutôt que sur la conservation de la biodiversité (Macleod, 2003).
Il y a une crainte au sujet de la hausse des prix et aussi sur la perte de la '' culture Virunga '' si l'externalisation devait se produire. Beaucoup de touristes se trouveront mécontents en ce qui concerne la commercialisation des restaurants et des magasins, la hausse des prix, la mauvaise qualité des produits et le service, et prévoient la même tendance touchant l'hébergement si l'externalisation devait être introduite.
Des préoccupations ont été soulevées au sujet de l'impact que l'externalisation pourrait avoir sur les communautés locales et les personnels du Parc Virunga.
Ainsi, il apparaît que les revenus du tourisme dans le parc serait impacté négativement si l'externalisation est introduite.
La commercialisation, cependant,
devrait être une stratégie bien pensée et axée sur les fonctions où une zone
protégée comme le Parc Virunga manque d'expertise et de l'innovation.
Les conséquences de la commercialisation devraient être explorées largement
en termes de son impact sur les marchés nationaux et internationaux dans le
contexte du cadre de marketing de destination totale des installations
d'hébergement.
Bibliographies
Eagles,
P.F.J and Wind, E. (1994) Canadian ecotourism in 1992: A content analysis of
advertising. Journal of Applied Recreational Research 19 (1), 67-87.
Eagles,
P.F.J. (1995) Understanding the market for sustainable tourism.
Eagles,
P.F.J. (1997) International ecotourism management: Using Australia and Africa
as case studies. Paper prepared for the IUCN World Commission on Protected
Areas. Protected Areas in the 21st Century: From Islands to
Networks, Albany, Australia.
James, A. (1999) Institutional constraints to
protected area funding. International Journal for Protected Area Managers 9
(2), 15-26.
Macleod,
F. (2003) Makro King in parks rescue plan. Mail &Guardian, 6 June, 15,
Johannesburg.
Pleumarom,
A. (2003) our world is not for sale! The disturbing implications of
privatization in the tourism trade. Paper presented at the International
Seminar on ‘’Tourism; Unfair Practices-Equitable Options’’, 8th -9th
December 2003, hosted by the Network for Sustainable Tourism Development
(DANTE). Hanover, Germany.
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